Le 28 mars 2014, le Comité des droits de l’homme de l’Organisation des Nations unies a adopté une résolution portant sur la prolongation d’un an du mandat du Rapporteur spécial des Nations Unies sur la situation des droits de l’Homme en Birmanie.
La situation de la Birmanie requiert la mise en œuvre d’un mécanisme de surveillance international efficace notamment parce que les objectifs de référence définis par le Rapporteur spécial Tomás Ojea Quintana ne sont pas encore atteints.
La FIDH et son organisation membre l’ALTSEAN-Burma se sont mobilisées à travers de multiples efforts de plaidoyer afin d’obtenir la prolongation du mandat du Rapporteur spécial des Nations unies. Il s’agissait de l’une de leurs recommandations publiées plus tôt cette année dans un communiqué de presse commun.