Le rapport d’enquête de la FIDH conclut que les prisonniers politiques existent en Géorgie. Bien que le rapport ne donne pas une liste exhaustive des prisonniers politiques, il a pour but d’illustrer son évaluation dans huit cas pilotes. Ces cas principalement démontrent comment certains opposants politiques, les bailleurs de fonds de l’opposition politique et des individus influents liés à l’opposition sont arrêtés et détenus après avoir été condamné par des affaires judiciaires en tout ou partiellement fabriqués.
Les accusations les plus fréquemment utilisées impliquent le stockage illégal d’armes ou de drogues, des extorsions et des tentatives de renversement du gouvernement.