De nombreux défenseurs, notamment des membres du réseau FIDH sont détenus arbitrairement. Les défenseurs soumis au harcèlement judiciaire sont souvent détenus au secret avant d’être soumis à des procès expéditifs ou subissent au contraire des procédures extrêmement longues devenant une peine en soi et empêchant les défenseurs de mener leurs activités.
La FIDH, au travers de l’Observatoire, a fait de cette thématique un axe d’action prioritaire.