« Nous avons exprimé ces préoccupations à plusieurs reprises ces derniers mois aux autorités arméniennes au plus haut niveau – et ce matin encore au Président de la République, comme nous l’avons promis hier aux familles des victimes et des prisonniers politiques », a déclaré Souhayr Belhassen. « L’ensemble de ces points préoccupent le congrès de la FIDH tout entier qui aujourd’hui, par ma voix, lance un appel aux autorités : nous espérons des réponses concrètes à ces préoccupations. Nous persisterons jusqu’à les obtenir », a-t-elle ajouté.
“Libérer tous les prisonniers politiques et poursuivre en justice les responsables de la mort de dix personnes lors des événements du 1er mars, sont deux des conditions essentielles pour une justice efficace en Arménie”, a conclu Artak Kirakosyan, représentant du Civil Society Institute, organisation membre de la FIDH en Arménie.