La contribution souligne comment les femmes prisonnières en Thaïlande continuent d’endurer de mauvaises conditions de détention, restant en-deçà des normes internationales, et comment la peine de mort leur est imposée de manière disproportionnée pour des infractions liées à la drogue.
La contribution observe également la répression croissante contre les femmes défenseures des droits humains en Thaïlande, par des acteurs étatiques comme non étatiques, en raison de leur travail de défense des droits humains et l’exercice légitime de leurs droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique.
Lire la note ci-dessous (en anglais uniquement) :