La FIDH considère, après examen de cette plainte et des pièces annexées, que les faits et délits visés sont de nature à justifier les poursuites intentées par les ayants droit des victimes mentionnées ci-dessus ainsi que les demandes formulées à titre d’ouverture d’une enquête à bref délai par les Officiers de Police Judiciaire.
La FIDH souhaite donc voir donner une suite rapide et favorable à ces demandes et précise d’ores et déjà, que dans l’hypothèse de l’ouverture d’une information confiée à un Juge d’Instruction elle entend se constituer, conformément à ses statuts, partie civile.