Un rapport cinglant des Nations Unies condamne l’Ouzbékistan pour son utilisation étendue, systématique et approuvée par le gouvernement de la torture. Ceci suit le compte-rendu du Comité Contre la Torture des Nations Unies (CAT Committee Against Torture) du 29 octobre 2013. Ce compte-rendu souligne le recours à la stérilisation forcée et les violences sexuelles subies par les prisonniers. Ils citent notamment l’affaire de Mutabar Tadjibaeva, directrice de l’organisation membre de la FIDH « Fiery Hearts Club » (Club des Cœurs Enflammés).
La FIDH a constamment et activement dénoncé le bilan lamentable en matière de droits humains de l’Ouzbékistan. Avant le compte-rendu, la FIDH a contribué à la publication d’un rapport sur la « mise en œuvre du CAT par l’Ouzbékistan ». Lors de la session du CAT, la délégation Ouzbèque a nié que son pays commis des actes réprehensibles, a menti de façon éhontée et a raillé les obligations internationales de l’Ouzbékistan. La FIDH se félicite des conclusions des Nations Unies qui reflètent ses propres conclusions
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