L’étude qui a été demandée par la Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures du Parlement analyse l’impact que la crise économique et l’austérité ont eu sur un certain nombre de droits fondamentaux en Grèce et présente une série de recommandations.
Les conclusions de cette étude reflètent et intègrent largement les conclusions auxquelles a abouti la FIDH dans son rapport “Dévaluation des droits : le prix de l’austérité en Grèce“, publié en décembre 2014, suite à une mission d’enquête effectuée par les membres de notre organisation en Grèce. Le rapport montre que les difficultés et les mesures d’austérité ont mis en péril les droits de l’homme et les valeurs démocratiques dans de nombreux secteurs, des droits économiques et sociaux aux droits civiles et politiques. Il met également en cause les institutions nationales et internationales et, en particulier, l’UE et ses Etats membres dont il souligne les responsabilités à l’égard des violations constatées.