La FIDH tient à affirmer qu’elle n’a jamais été à l’origine de cette conférence dont le thème retient par ailleurs tout son intérêt, et que son organisateur, Monsieur Mauro Gagliardi, n’a aucun pouvoir pour la représenter.
Par conséquent, la FIDH se désolidarise totalement de cette manifestation, et se réserve toute latitude pour donner des suites, y compris judiciaires, à l’usurpation de titre dont se prévaut Monsieur Gagliardi. Elle rappelle en outre que l’organisation à laquelle Monsieur Gagliardi dit appartenir, la " lega italiana ", est actuellement l’objet d’une mesure de suspension de la FIDH et d’une enquête interne.