De gauche à droite : Moctar Mariko, président de l’AMDH, Moussa Mara, Premier Ministre du Mali, Souhayr Belhassen, présidente d’honneur de la FIDH, Zahabi Ould Sidi Mohamed, Ministre de la Réconciliation nationale du Mali, Guillaume Ngueffa, chef DH Minusma.
Alors que le Mali sort de la plus grave crise de son histoire, la réconciliation constitue un objectif crucial et essentiel en faveur de la consolidation de la paix et de l’État de droit dans le pays. En créant le 15 janvier 2014 la Commission vérité, justice et réconciliation (CVJR) avec l’approbation de l’Assemblée nationale, le président Ibrahim Boubacar Keïta et son gouvernement se sont résolument engagés dans un processus de vérité, de justice et de réparation, sans pour autant en gager l’avenir ou tout au moins en laissant ouvertes les différentes portes qui mènent à cette réconciliation.
#Mali : Séminaire sur la justice transitionnelle organisé par la FIDH et l'@AMDHMali. Discours de Mme Belhassen : https://t.co/7glYbkZ2WA
— FIDH (@fidh_fr) 7 Novembre 2014
La FIDH et l’AMDH ont décidé de rassembler membres du gouvernement, de l’Assemblée nationale, magistrats, acteurs de la société civile, ainsi que les représentants des partenaires internationaux présents au Mali, afin de mener des consultations élargies et émettre des recommandations qui pourront contribuer à la mise en place et aux travaux de la Commission vérité, justice et réconciliation au Mali. Les 6 et 7 novembre 2014, c’est près de 230 personnes qui prennent part aux travaux et ateliers de ce séminaire.