Au cours de l’année, la FIDH et l’Iteka ― la ligue burundaise des droits de l’Homme ― ont mené une série de réunions de plaidoyer, ainsi que diverses activités complémentaires et des échanges d’information, avec des interlocuteurs de l’UE pour les tenir informés de la réalité de la situation sur le terrain.
Considérant le renforcement de l’appareil répressif et la disparition quasi totale de l’espace de liberté de la société civile, la FIDH et son organisation membre ont plaidé pour le maintien des sanctions et leur élargissement à d’autres auteurs ayant porté atteinte aux droits humains et/ou ayant commis des actes minant la démocratie et pour la résolution politique de la crise au Burundi.