Cette résolution fait suite à celle adoptée par le Conseil le 2 octobre et contribue aux efforts onusiens et régionaux pour prévenir une nouvelle détérioration de la situation et le retour à la guerre civile dans le pays.
La FIDH n’a eu de cesse d’alerter la communauté internationale, et les Nations Unies en particulier, sur la nécessité d’une action urgente et coordonnée au Burundi. En novembre dernier, la FIDH avait notamment coordonné la rédaction d’un appel aux États membres et observateurs du Conseil des droits de l’Homme à tenir une session spéciale visant à le doter de capacités complètes d’enquête et de reporting sur le Burundi afin de contribuer à la pression internationale sur les autorités de Bujumbura.