La FIDH est fière d’avoir pu contribuer à ce dossier : à une heure où les progrès de la “révolution numérique” permettent de développer les libertés individuelles partout dans le monde, la surveillance numérique est un marché lucratif pour des entreprises comme Amesys qui n’ont pas hésité à vendre à la Libye de Kadhafi de quoi surveiller journalistes et défenseurs des droits. Les outils qui permettent ainsi aux défenseurs de faire entendre leur voix permettent également de les traquer avec une ampleur et une efficacité jamais atteinte auparavant.
Débattez à votre tour de la nécessité de la surveillance numérique sur le site Internet d’Altermondes. Sur le même site, deux débats ayant lieu à la Maison des Métallos seront également diffusés en streaming le 14 avril.
Enfin, découvrez un tour du monde de l’actualité de la Colombie à la Corée du Nord en passant par le Sahara Occidental, et un entretien exclusif avec Pınar Selek sociologue et célèbre défenseur turque des droits humains.
La FIDH est devenue sociétaire d’Altermondes lorsque le magazine a décidé de devenir une Société Coopérative d’Intéret Collectif.
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