Egypte : L’Onu déclare que la détention de la défenseuse des droits de l’homme Yara Sallam est arbitraire et demande une indemnisation appropriée.

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Yara Sallam travaillait pour l’Initiative Egyptienne pour les droits des personnes (EIPR). En Décembre 2014, elle a été condamnée en appel avec 22 autres contestataires à deux années d’emprisonnement et deux années de surveillance policière, dans le cadre de la loi draconienne de 2013 contre les manifestations. Elle a été libérée en 2015, par grâce présidentielle.

En Août 20214, la FIDH, par l’intermédiaire de son Observatoire pour la Protection des Droits de l’Homme, ainsi que l’Institut du Caire pour les Etudes des Droits de l’Homme (CIHRS) ont renvoyé l’affaire Yara Sallam au groupe de travail de l’ONU sur la détention arbitraire.

Les conclusions de l’ONU attirent l’attention sur le sort de nombreux défendeurs des droits de l’homme arrêtés dans le cadre de la Loi réprimant les manifestations, entre autres Ms. Mahienour El Massry, Mr Youssef Shaban, Mr Loay Mohamed Abdel Rahman [1] et Mr. Alaa Abdel-Fattah [2].

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