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La Les |
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align="right" valign="top" width="274">
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<span
style="font-size: small;">Tunisie : la
FIDH veille à placer le respect des droits de l’Homme au cœur de
la transition politique
<span
style="font-size: small;">Le 23 octobre 2011, plus de 4 millions de
Tunisiennes et de Tunisiens se sont rendus aux urnes pour élire les
membres de l’Assemblée constituante. Cette élection est une nouvelle
manifestation de la détermination et de l’engagement du peuple tunisien
dans le processus de transition démocratique initié depuis la chute du
régime de Ben Ali, le 14 janvier 2011. Avec ses organisations membres et<span
style="font-size: small;"> partenaires, <span
style="font-size: small;">la FIDH a, tout au long de ces neuf mois,
encouragé les autorités de transition à poser des actes importants dans
la voie de la protection des droits de l’Homme. Ces efforts ont
notamment contribué à la ratification par la Tunisie d’instruments
internationaux tels le Statut de la Cour pénale internationale, la
Convention internationale contre les disparitions forcées, ainsi que
les deux protocoles facultatifs au pacte international sur les droits
civils et politiques, à la levée des réserves à la CEDAW (la Convention
sur l’élimination de toutes les formes de discriminations à l’égard des
femmes) ; et à la concrétisation de la parité sur les listes
électorales. Autant de jalons posés qui devront être concrétisés pour
l’avènement de l’Etat de droit et la démocratie dans ce pays.
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style="color: rgb(0, 0, 0); font-family: Arial,Helvetica,sans-serif; font-size: 12px;"
width="22">
<span
style="font-size: small;">Guinée : les
magistrats instructeurs dans l’affaire du massacre du 28 septembre
renforcés dans leur indépendance
<span
style="font-size: small;">En septembre 2011, une délégation de la FIDH
s’est rendue à Conakry pour faire le point sur la procédure en justice
ouverte dans l’affaire du 28 septembre 2009. Les forces de l’ordre du
capitaine putschiste Dadis Camara avait alors exécuté plus de 150
manifestants pacifistes et violé des dizaines de femmes. La délégation
a fait part de sa préoccupation au ministre de la Justice quant à la
lenteur de la procédure, notamment liée aux conditions de travail
des magistrats instructeurs. Le ministre a accepté de procéder à la
délocalisation des bureaux des juges. Ces bureaux étaient en effet
situés dans des locaux où se trouvaient des éléments des forces de
sécurité soupçonnées d’avoir participé au massacre.
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style="color: rgb(0, 0, 0); font-family: Arial,Helvetica,sans-serif; font-size: 12px;"
width="22">
<span
style="font-size: small;">Gambie : Libération d’un avocat
activiste des droits humains
<span
style="font-size: small;">Dans un pays où le chef de l’Etat lui
même n’hésite pas à déclarer publiquement
<span
style="font-size: small;">« [Si] vous êtes affiliés à quelque groupe
de droits humains, soyez assurés que votre sécurité ne sera
aucunement garantie par mon gouvernement. <a
href="http://fidh.org/Climate-of-fear-amongst-the?utm_source=splio&utm_medium=email&utm_campaign=FIDH%20%7C%20Eclaircies%20%7C%20Novembre%202011">Nous
sommes prêts à éliminer les détracteurs », l’avocat Moses Richards
a toujours fait preuve d’un courage exceptionnel dans son combat
pour la défense des défenseurs des droits de l’Homme En
raison de ces activités, il est condamné, le 19 septembre 2011, à
2 ans de prison, assortis de travaux forcés, pour « divulgation
de fausses informations » et « sédition » pour des actes qui
découlent de la pratique usuelle des représentants légaux. C’est
grâce à un forte mobilisation menée par la société civile
gambienne et <a
href="http://fidh.org/-Rapports-annuels-de-l-Observatoire-?utm_source=splio&utm_medium=email&utm_campaign=FIDH%20%7C%20Eclaircies%20%7C%20Novembre%202011">l’Observatoire
pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme (OBS)<span
style="font-size: small;">, que M. Richards a pu étre libéré par grâce
présidentielle le 14 octobre.
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style="color: rgb(0, 0, 0); font-family: Arial,Helvetica,sans-serif; font-size: 12px;"
width="22">
<span
style="font-size: small;">Ouzbékistan : la FIDH contribue à la
libération d’un défenseur des droits de l’Homme
<span
style="font-size: small;">« Aux organisations internationales,
comme la FIDH (...), du plus profond de mon cœur je vous
suis très reconnaissant d’avoir permis ma libération ». C’est avec
ces mots que Norboy Kholjigitov, ancien président de la branche du
district d’Ishtikhan de la Société Ouzbèke des droits de l’Homme, a
exprimé sa reconnaissance à notre organisation, pour la
contribution de <a
href="http://fidh.org/-Rapports-annuels-de-l-Observatoire-?utm_source=splio&utm_medium=email&utm_campaign=FIDH%20%7C%20Eclaircies%20%7C%20Novembre%202011">l’Observatoire
pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme (OBS) <span
style="font-size: small;">à sa libération le 14 octobre 2011. Norboy
Kholjigitov avait été arrêté le 4 juin 2005 et condamné le 18 octobre
2005 à 10 ans de prison pour diffamation, atteinte à la sécurité de
la vie du président et du régime constitutionnel du pays.
Accusations fallacieuses ayant pour but de réduire au silence toute
voix critique contre la gouvernance des autorités. Il a été détenu dans
des conditions inhumaines, torturé et menacé d’être transféré dans un
asile. Notre mobilisation pour sa libération a été totale.
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style="color: rgb(0, 0, 0); font-family: Arial,Helvetica,sans-serif; font-size: 12px;"
width="22">
<span
style="font-size: small;">Guatemala : un
rapport de la FIDH pour lutter
contre l’impunité
<span
style="font-size: small;">Un rapport de la FIDH daté de 1983 a été une
pièce décisive pour clore la longue enquête, mandatée par la Cour
suprême guatémaltèque, sur les disparitions forcées de Ana María López
Rodríguez et Luz Leticia Hernández Gabriel Calate, en 1982, lors
du conflit opposant les putschistes à une guérilla. Dans le rapport de
la FIDH figurent les témoignages de familles de victimes décrivant leur
détention avec les deux personnes disparues. L’enquête devrait
prochainement déboucher sur un procès. Un pas supplémentaire dans la
lutte contre l’impunité des crimes graves commis contre les Mayas au
Guatemala sous la dictature de Ríos Montt.
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style="color: rgb(0, 0, 0); font-family: Arial,Helvetica,sans-serif; font-size: 12px;"
width="22">
Birmanie : de <span
style="font-size: small;"> Depuis 2009, la FIDH,
Altsean Burman et d’autres ONG birmanes appellent à l’établissement
d’une telle commission concernant les plus graves crimes commis par le
régime birman comme les violences sexuelles utilisées comme arme de
guerre, le travail forcé, le déplacement de populations... Grâce à
cette action, un nombre croissant d’Etats y compris en Afrique, en Asie
et en Amérique du sud sont davantage sensibilisés à la grave situation
qui perdure sur le terrain exerçant ainsi une pression supplémentaire
sur les grandes puissances dont l’Union européenne qui elles ferment
les yeux sur ces violations. A suivre désormais comment cette
mobilisation va se concrétiser lors de la prochaine Assemblée générale
des Nations unies en décembre.
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style="color: rgb(0, 0, 0); font-family: Arial,Helvetica,sans-serif; font-size: 12px;"
width="22">
<span
style="font-size: small;">Le Parlement européen rattrape enfin
le manque de mobilisation de l’UE sur la situation au Barhein
<span
style="font-size: small;">Alors que les ONG barheïnis de défense des
droits de l’Homme déploraient l’absence d’une réelle mobilisation de
l’UE face à la répression violente des manifestations pacifiques
appelant à la démocratie et au respect des droits de l’Homme depuis
février 2011 au Barheïn, la FIDH a obtenu à l’issue d’une interface de
plaidoyer à Bruxelles, que le Parlement européen fasse écho à
l’ensemble de leurs préoccupations et recommandations dans le cadre
d’une résolution d’urgence adoptée le 27 octobre 2011.
<span
style="font-size: small;">La résolution stigmatise notamment la
réaction "trop lente et trop faible de la Communauté internationale"
suite à la répression sanglante des autorités ayant entrainé le décès
de dizaines de manifestants. Elle dénonce aussi les menaces et
harcèlements dont fait l’objet le Secrétaire général adjoint de la
FIDH, Nabeel Rajab, par les forces de sécurité, et son interdiction de
sortie du territoire.
<span
style="font-size: small;">Cette résolution renforce les efforts
d’interpellation des Etats membres de l’UE et du Service d’action
extérieure mené par Catherine Ashton, alors que l’UE a échoué à
plusieurs reprises à envoyer des messages clairs de soutien aux
défenseurs des droits de l’Homme bahreïnis.
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width="22">
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