Le 5 décembre 2013, les membres du Parlement kényan ont annoncé le retrait des amendements controversés aux statuts visant spécifiquement les organisations d’intérêt public, ONG à présent dénommées PBO. Ces amendements qui incluaient un changement radical de la façon dont les organisations de la société civile pouvaient obtenir et gérer leurs financements, auraient gravement empiété sur le droit desdites organisations à faire leur travail librement sans le poids de l’intervention étatique.
Les activités de plaidoyer conduites par la FIDH et son organisation membre, la Commission kényane des droits de l’homme (KHRC), auprès des Nations Unies et de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP) ont permis d’accroître la mobilisation régionale et internationale en mettant la pression sur les autorités kényanes.
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