Malgré la ratification par le Congo-Brazzaville de la Convention des Nations unies contre la torture et autres traitements cruels, inhumains et dégradants en 2003 [1] , la pratique de la torture persiste. De nombreux cas de torture impunis continuent d’être rapportés par les organisations de défense des droits humains, et aucune loi interne n’a encore été adoptée pour transposer cette convention.
L’OCDH estime notamment que la ratification du Protocole facultatif se rapportant à la Convention des Nations unies contre la torture et autres traitements cruels, inhumains et dégradants (OPCAT en anglais), est une occasion unique pour faire avancer la prévention de la torture au niveau national puisque cet instrument prévoit la mise en place d’un mécanisme de prévention de la torture. [2]